mai 29, 2023

LES SCIENTIFIQUES FRANÇAIS

REVUE DE PHILOSOPHIE DE LA PAIX

NATUROPATHIE ET ​​MÉDECINE INTÉGRATIVE : RECHERCHES SCIENTIFIQUES

 

Dr. Irina Muench, N.D., PhD

Résumé : Cet article scientifique examine divers aspects dans le domaine de l’ostéopathie, y compris la recherche scientifique systémique. L’histoire et les approches dans ce domaine sont examinées en détail.

Mots clés : ostéopathie, autorégulation, santé, neurologie, chirurgie, synthèse.

Une nouvelle technique en médecine russe – ostéopathie – est apparue aux années 90 du 20e siècle. De nouvelles approches thérapeutiques basées sur les principes du holisme, des méthodes efficaces de diagnostic et de traitement, la possibilité de se passer de médicaments qui pourraient entraîner divers effets secondaires – tout cela a mené à la très grande popularité de l’ostéopathie parmi les médecins ainsi que parmi des patients reconnaissants.

Il est intéressant de noter que, bien que l’ostéopathie en Russie existe déjà depuis longtemps, des informations fiables sur cette méthode de traitement ne sont disponibles qu’à un très petit nombre de médecins spécialistes. Le manque de sensibilisation de la communauté médicale et des patients sur l’ostéopathie donne lieu à de nombreux jugements contradictoires et même à des mythes. Bien entendu, cette situation est dommageable non seulement aux médecins spécialistes, y compris les ostéopathes, mais aussi aux patients en tant que clients potentiels de cette approche de la médicine non conventionnelle. Par conséquent, il est nécessaire d’examiner tous les principes et méthodes de l’ostéopathie du point de vue scientifique, ainsi que d’aborder son histoire émergente de la préservation de santé. Ce n’est qu’ainsi, bien sûr, qu’il est possible de combler d’une manière efficace le déficit d’information – sans aucun battage publicitaire et dans le cadre d’une approche scientifique fiable et systémique.

Une nouvelle méthode de traitement – l’ostéopathie –  est apparue dans la médicine russe et s’est évoluée de manière dynamique au cours des trois dernières décennies. L’apparition de l’ostéopathie en tant que science et système médical dans le monde remonte à 1874. Le nom de l’ostéopathie a été donné par son fondateur – le médecin américain Andrew Taylor Still (1828 – 1917). Littéralement, l’ostéopathie est un travail sur la structure (corps, organes individuels, tissus). L’ostéopathie influence sur les organes et les tissus. Pendant la mise en œuvre des effets ostéopathiques l’ensemble de technologies médicales vise à éliminer les dysfonctionnements biomécaniques, se manifestant par les troubles de position et de mobilité de divers organes et tissus.

En général, en donnant des caractéristiques globales, il vaut mieux souligner que l’ostéopathie fait désormais partie de la médecine officiellement existante. Malgré le fait que l’activité d’ostéopathe repose sur la connaissance de l’anatomie et de la physiologie humaines, les approches philosophiques de l’ostéopathie sont très différentes des celles de l’allopathie « médicamentaire », actuellement « médecine conventionnelle ».

Les principales différences de l’ostéopathie sont : une approche holistique au corps humain et la recherche de la cause profonde de la maladie avec son élimination ultérieure. Le dernier postulat a besoin de précisions. En allopathie, la norme généralement acceptée est l’investigation diagnostique formalisée de pathologies sur la base d’un ensemble de symptômes, suivi par le choix de médicaments selon les mêmes critères. La prescription des médicaments « contre la diarrhée », « contre les maux de dents », « contre la pression haute », etc. ressemble au maraboutage ou à la sorcellerie dans le pire des cas de sa manifestation.

Le problème de telle approche est ce qu’on traite les conséquences, et non les causes de la mordibité. En même temps, il faut faire attention à ce que tout trouble de la fonctionnalité des organes est une conséquence, une sorte de compensation pour quelque autre trouble. Par exemple, l’hypertension artérielle peut résulter d’au moins une douzaine de causes. Et les lésions les plus courantes, en particulier dans les tranches d’âge de plus de 40 ans sont: altération de fonctionnalité des parties centrales du système sympathique, évolution de l’athérosclérose systémique, problèmes vertébrogènes de la colonne cervicale et de la zone cervico-thoracique. Les représentants de la thérapie « médicamenteuse », ayant accès à des médicaments pharmacologiques de divers types d’action, limitent leur travail en un seul type d’assistance thérapeutique: prescrire un médicament pour normaliser la pression dans le réseau circulatoire. Dans le même temps, on préscrit le même type de médicaments malgré toutes les causes énumérées de l’hypertension artérielle.

En ostéopathie on utilise des approches différentes. Tous ces états sont différenciées dans le diagnostic ostéopathique et, en conséquence, un ensemble individuel de mesures thérapeutiques est sélectionné pour le soulagement des symptômes douloureux énumérés en fonction des lésions identifiées des organes et tissus.

Sur la base des postulats énoncés, ainsi que du fait que l’ostéopathie a son propre système philosophique, tout à fait différent, nous pouvons affirmer que l’ostéopathie est un système médical à part. Et dans ce cas-là il faut traiter l’ostéopathie non comme spécialité médicale, mais comme système médical tout à fait à part. Ce système médical a été nommé médecine ostéopathique.

À cet égard, il faut préciser que dans la structure des services médicaux, nous trouverons au moins deux autres systèmes médicaux particuliers, dont les concepts philosophiques reposent sur des principes très différents de ceux qui existent dans la médecine « officielle ». Ces systèmes médicaux comprennent la réflexologie, basée sur les principes philosophiques de la « médecine traditionnelle chinoise, ou orientale », et l’homéopathie, qui fonctionne sur la base des principes philosophiques développés par Hahnemann.

L’ostéopathie d’aujourd’hui est le domaine des soins médicaux qui se développe le plus vite en Russie. Et l’étape la plus importante de cette évolution est la reconnaissance de l’ostéopathie en tant que profession et spécialité médicale.

Ce fait est important à la fois pour les ostéopathes et pour l’ensemble de la communauté médicale. Premièrement, il s’agit d’une reconnaissance explicite des mérites des ostéopathes dans l’amélioration de la santé de la population ; d’autre part, c’est la reconnaissance de l’ostéopathie en tant que médicine efficace dans le système de santé publique nationale. De plus, la prérogative de la spécialité médicale dans l’ostéopathie avec les régulations étatiques suivantes devrait mettre un frein à divers non professionnels qui n’ont pas de formation médicale, ou n’ont pas de compétences nécessaires en ostéopathie.

Il existe de nombreuses interprétations du mot « ostéopathie ». Il tient à souligner que maintenant le nom « ostéopathie » ne reflète pas l’essence de la médecine ostéopathique. En fait, c’est le nom historique qui a été conservé à ce jour en hommage à son fondateur. Conçu à l’origine par A.T.Still, la technique médicale de «remboîtage» des vertèbres et des articulations, qu’il a appelée « ostéopathie », s’est considérablement enrichie par de nouvelles méthodes de diagnostic et de traitement au cours du dernier siècle. Presque tous les organes et tissus qui forment la structure du corps humain sont dans la zone de son influence. En plus des organes du système musculosquelettique, en ostéopathie désormais on influence largement les organes internes et les structures du crâne.

Le fondateur A.T.Still a donné la définition suivante de l’ostéopathie en 1892. « L’ostéopathie. C’est une connaissance scientifique d’anatomie et de physiologie, utilisée par une personne intelligente et habile, capable de l’appliquer à l’homme malade ou blessé par des tensions, des coups, des chutes, une anomalie mécanique ou un accident. »

Le diagnostic et la correction ostéopathiques sont effectués manuellement et sans l’utilisation de techniques matérielles, instrumentales ou médicamenteuses; l’effet thérapeutique n’est réalisé que par des manipulations douces manuelles et des déplacements tissulaires très légers, souvent à peine perceptibles.

L’ostéopathie est une philosophie, une science et un art, et sa philosophie inclut le concept de l’unité de la structure et de la fonction à la fois « en bonne santé » et dans des conditions de stress et de maladies diverses. Il est emblématique que la science de l’osthéopatie soit basée sur les sciences chimiques, physiques et biologiques liées au maintien de la santé, à la prévention et au traitement de diverses maladies. Cependant, son art principal consiste toujours en une application concrète de la philosophie et de la science à la pratique de l’ostéopathie.

La définition moderne de l’ostéopathie est suivante : L’ostéopathie est un ensemble de techniques thérapeutiques et diagnostiques utilisées pour établir les causes et éliminer les troubles biomécaniques identifiés par influence manuelle sur les structures anatomiques du crâne, de la colonne vertébrale, du sacrum, des articulations, des appareils musculo-ligamentaires, des organes internes afin de restaurer leur mobilité et fonctionnement optimal (Recommandations méthodiques N° 2003/74).

La philosophie ostéopathique de Still repose sur quatre principes fondamentaux :

  • Le corps est une unité holistique, constituée du corps, de l’esprit et de l’âme.

Le corps possède ses propres mécanismes de régulation, potentiel d’automédication, et de systèmes de soutien à la santé. 

  • Structure et fonction sont interdépendantes dans le corps.
  • La thérapie ostéopathique est une synthèse de trois grands principes : corps-esprit-âme, activation de son propre potentiel de guérison et un lien inextricable entre la structure et la fonction des tissus.

Les postulats de base du concept ostéopathique de diagnostic et de traitement ont été formulés pour la première fois par le médecin américain Andrew Taylor Still (1828-1917). En observant les liens entre la structure du corps et sa fonction, A.Still a découvert que la fonction d’un organe peut être rétablie par le biais du traitement de sa structure. Il a souligné que le corps possède de tels « mécanismes » qui visent constamment à obtenir un meilleur état de santé, et que dans les systèmes médicaux holistiques, ces mécanismes ont ensuite été appelés « sanogénétiques ». L’ostéopathe accompagne ce mécanisme de guérison unique et l’oriente vers la bonne direction. De ce point de vue, il peut aider de nombreux patients de manière équilibrée et, au final, le corps du patient effectue l’autorégulation nécessaire.

Il y a un exemple remarquable de l’enfance d’A.Still. Dans son enfance, Andrew Taylor souffrait de graves maux de tête. Une fois, tourmenté par une grave crise de maux de tête, il retira le siège en bois de la balançoire suspendue devant un arbre, rallongea légèrement la corde et Il plaça la corde sur la base du cou. Cette position entraîna un étirement dans la région occipitale et ainsi soulagea le mal de tête au point qu’il réussit de se détendre et s’endormir. Au réveil, à sa grande surprise, il trouva que son mal de crâne était passé.

Cette découverte, qu’il continua à appliquer avec succès à l’avenir, est devenue l’un des événements déterminants qui a donné l’impulsion nécessaire au développement de son concept unique d’ostéopathie.

Par la suite, la pratique du Dr Still s’est transformée en un concept thérapeutique particulier d’ostéopathie. La libération de nos propres pouvoirs de guérison se produit grâce à des actions actives de la part du patient, par exemple, exercices, sport, relaxation et certains changements dans l’alimentation. L’activité du patient sous la direction d’un ostéopathe, ainsi que le traitement ostéopathique proprement dit, jouent évidemment un rôle déterminant sur le chemin de la guérison et de la santé.

Après une longue étude du corps humain avec une expérience négative permanente de l’usage des médicaments à cette époque, en 1874 Still a soulevé la « Bannière de l’ostéopathie », comme il l’a écrit plus tard à ce sujet dans son « Autobiographie ». Au fil des années, Still, s’appuyant sur sa connaissance détaillée de la structure et de la fonctionnalité du corps humain, a perfectionné sa méthode d’utilisation de ses mains pour libérer les processus de guérison dans le corps du patient. Il a non seulement synthétisé les techniques manuelles de l’antiquité, les expliquant à l’aide de la science moderne, mais les a développées. A l’origine sa thérapie était connue sous le nom de « traitement de Still », et ce n’est que plus tard qu’il l’a renommée en osteopathie moderne. On sait que d’abord Dr Still a ouvert son cabinet d’ostéopathie dans la petite ville de Kirksville, Missouri. Au fil du temps, il a commencé à connaître un tel succès et une telle popularité que des patients des coins les plus reculés du pays y sont venus . Docteur Still, sûr dans la pertinence de ses idées et inspiré par ses propres succès thérapeutiques, a fondé l’American School of Osteopathy à Kirksville en 1892. En 1892, le premier groupe comptait 21 étudiants, et déjà en 1900 plus de 700 étudiants étaient formés à l’ostéopathie.

La marche triomphale de l’ostéopathie aux États-Unis était imparable, mais en même temps il y avaient certaines difficultés. Les médecins allopathes ont montré peu d’intérêt pour ces nouvelles idées. La reconnaissance finale de l’ostéopathie et son inclusion dans le système de santé publique étaient rejetées pendant plusieurs décennies et ce n’est qu’en 1973 par que l’ostéopathie a reçu sa pleine reconnaissance au niveau étatique dans tous les États des États-Unis.

Il existe actuellement plus de 20 universités d’ostéopathie aux États-Unis; il y a environ 47 000 ostéopathes au total. Les ostéopathes et les allopathes travaillent côte à côte, sans confrontation. Habituellement, un médecin ostéopathe après avoir obtenu son diplôme d’une école d’ostéopathie reçoit immédiatement le titre de docteur en ostéopathie (DO), un docteur en médecine allopathique – docteur en médecine (MD). De plus, les principales disciplines médicales des deux cours sont toujours identiques, cependant, les futurs ostéopathes étudient non seulement les fondements philosophiques généraux, mais aussi diverses techniques tissulaires et méthodes de relaxation et de rééducation après diverses accidents et maladies.

Un ostéopathe aux États-Unis peut également spécialiser dans d’autres domaines de la médecine, tels que la médecine interne, la neurologie, la chirurgie ou l’orthopédie. On sait qu’en Europe l’ostéopathie n’est pas si populaire, mais qu’elle a un taux d’évolution beaucoup plus élevé qu’aux États-Unis. En Angleterre, John Martin Littlejohn (1865-1947), élève de Still, fonda la British School of Osteopathy en 1917, la première école européenne de ce type. Les ostéopathes y sont représentés par leur propre niveau professionnel. Dans de nombreux pays européens, les ostéopathes ont déjà trouvé leur place dans le système de santé publique. Outre l’Angleterre, l’ostéopathie est largement représentée en France, en Suisse, en Belgique, en Espagne, étant précisé qu’elle est représentée au niveau de l’État. Dans des pays comme l’Italie, la Hollande, l’Allemagne, l’ostéopathie est actuellement en phase de légalisation.

L’histoire du développement de l’ostéopathie en Russie n’est pas si longue que celle d’Amérique ou d’Europe. Elle a un peu plus de 20 ans.

Il faut noter que malgré le fait que la première rencontre des médecins russes avec l’ostéopathie a eu lieu en 1988 (à l’Institut de recherche en orthopédie et de traumatologie Turner à Leningrad avec la participation de l’un des principaux ostéopathes américains V. Fryman), la première école d’ostéopathie privé – l’école supérieure russe de médecine ostéopathique n’a été créée qu’en 1994. La période de 1994 à 2000 peut être caractérisée comme une étape dans la formation d’écoles privées d’ostéopathie et la création d’un standard pédagogique provisoire en ostéopathie. Ce sont les ostéopathes français qui ont fait la plus grande contribution au développement de l’osthéopatie russe.

En 1997, afin de protéger la population contre des spécialistes incompétents et de soutenir les droits professionnels des ostéopathes certifiés, le Registre des médecins ostéopathes russes (RRDO) a été créé. Aujourd’hui, le Registre comprend des centaines d’ostéopathes professionnels.

En Russie, où il y a quelques années on ne savait presque rien de l’ostéopathie, de nombreux soi-disant « spécialistes » dans ce domaine sont apparus récemment. Jusqu’à une période récente, il n’y avait pas de formation spéciale légalement attestée, donc, la thérapie proposée n’était pas toujours compétante et de bonne qualité. La doctrine de l’ostéopathie, qui comprend la philosophie ostéopathique la plus importante, est si complexe qu’elle exige une solide formation de base. La pratique éducative a montré que les diplômés des établissements médicaux supérieurs ont déjà cette formation de base. Voilà pourquoi toutes les formations particulières sur la base éducative russe sont organisées sous conditions des connaissances fondementales en physiologie, anatomie, biologie et un certain nombre de spécialités cliniques chez les étudiants de l’école d’ostéopathie.

En 2000, avec l’aide active de la direction de l’Académie de médecine d’enseignement postgradué de Saint-Pétersbourg (SPbMAPO) (maintenant l’Université de médecine de l’État du Nord-Ouest du nom de l’I.Mechnikov et l’Ecole libre d’ostéopathie (France) à SPbMAPO, le Centre éducatif et scientifique de médecine ostéopathique a été créé et ensuite rebaptisé à l’Institut de médecine ostéopathique. Jusqu’en 2006, l’Institut de Médecine Ostéopathique du SPbMAPO était le seul établissement d’enseignement public dans le domaine de l’ostéopathie.

En janvier 2006, un cours de médecine de rééducation et d’ostéopathie a été créé sur la base de la faculté de médecine de l’Université d’État de Saint-Pétersbourg. Ainsi, c’est déjà la deuxième institution publique où on enseigne l’ostéopathie au niveau superieur. Aujourd’hui, l’Institut d’ostéopathie auprès de l’Université d’État de Saint-Pétersbourg est une subdivision structurelle de la Faculté de médecine.

L’enseignement ostéopathique n’est pas seulement un principe thérapeutique pour le traitement de certains syndromes douloureux. Grâce à la vision holistique sur le corps, cet enseignement est considéré par les ostéopathes comme un concept thérapeutique global pour le corps, l’esprit et l’âme. Les ostéopathes praticiens incluent la philosophie, la science et l’art dans sa définition. L’ostéopathie utilise les connaissances de l’anatomie, de la physiologie, de l’embryologie, de la chimie, de la physique, ainsi que des méthodes dont l’efficacité a été testée expérimentalement, mais n’a pas encore été confirmée par des preuves scientifiques à ce jour.

 

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